Kasey Harrison
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Date d'inscription : 05/03/2011
Votre personnage
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 | | Sujet: Balade Kasey et Champagne Mer 9 Mar - 21:43 | |
| Arrivés à la porte pour sortir du domaine, je baissai les étrillés et montas sur ton dos, puis je les réglai et quand cela fut fait je te donnai un petit coup de talon pour que tu partes au pas, tu le fis, moi je ne savais pas où on allait aller, je longeai le long de la route, puis suivis un petit sentier qui menait a des bois. Tu ralentissais, je te donnai un autre petit coup de talon, tu accélérais tu regardais de gauche à droite et moi aussi, aujourd’hui le soleil tapais et les oiseaux chantaient les papillons volaient comme porté par le vent, ces petites choses qui faisaient mon bonheur, tu avais les oreilles droite, et même si je regardais le paysage, je faisais bien attention à toi. Soudain, les bois se fini et une magnifique plage commenças le sable était blanc, l’eau était d’un bleu à en faire mal aux yeux, c’était le bon endroit pour un galop, d’abord je te fis prendre le trot, un trot calme, mais actif quand même.
J’eux soudain l’envie de te caresser ? Le pris les reines a une main et me mis à te caresser, je te connaissais de puis quoi trois jours ? Mais nous étions déjà bien liés. Je souris pendant un bon moment je crois ne jamais avoir été si heureuse. Moi quand je suis à cheval, je ne sais pas vous, mais j’oublie tous mes problèmes même si pour l’instant, je n’en n’ai pas tant que ça. Après avoir bien trotté je te fis passer au grand trot, je me mis en trot assis et te donnas un petit coup de bassin la première fois, cela ne marchas pas, mais la deuxième fois tu partis directement, tu étais toujours aussi confortable, cette plage, on aurait dit une plage sans fin, elle ne s’arrêtait jamais, ou alors elle était plus longue que les autres.
Soudain, un oiseau apparus au-dessus de nous, il n’avait pas l’air très content et… Non il n’avait pas auser ?! Je t’avais brossé pendant un long très long moment et… Il nous avait… Fais caca dessus pour être polie et pas que sur toi, moi aussi j’avais l’air maline, je te fis repasser au trot et me pris un fourire et imaginas ta tête de devant, je retirai les étriers et descendis je me mis devant toi et observas le travail que cet oiseau avait fait, je n’essayais même pas de m’imaginer, mais moi ça va car j’avais ma bombe et c’est tombé dessus, mais toi… En plein au milieu des oreilles qui était toujours droite comme des piquets, je me demandais même si parfois tu bougeais tes oreilles, parce que bon moi je ne les voyais pas bouger beaucoup hein. Je te lâchai quelque secondes, mais je faisais encore beaucoup attention à toi.
Je retirai ma bombe et la mise sous mon nez, je ne savais pas que les fiant** d’oiseaux s’entaient aussi mauvais ! Mais bon je le pris avec humour et recommenças a rigoler, toi tu me regardais bizarrement je me demandais même si tu avais remarqué que tu venais de te faire « cacater » dessus par un oiseau. Je rentrai mes mains dans mon pull et essayas d’essuyer, mais le problème c’est que plus je frottais plus sa s’étalais et plus il y en avait sur mon pull. J’abandonnai et la remis sur ma tête, puis je me mis à poser devant toi, et franchement tu avais l’air de te moquer de moi derrière tes grands yeux noirs. Je ne dis rien toi tu avais le don de me remonter le morale, même sans parler ! Cela faisait parties des nombreuses qualités que j’aimais chez les chevaux !
Et dieux seule sait que j’aime tout chez les chevaux. Je te regardais de nouveau morte de rire et toi tu avais l’air de te demander pourquoi je rigolais, oh si seulement tu l’aurais su, je ne sais pas du tout ce que tu aurais fais, mais en tout cas sa aurait été sûrement tordant de rire, je te fis un gros très gros bisou sur la tête puis te caressas les oreilles non, mais ne compte pas sur moi pour t’essuyé tu sais t’essuyé tout seule nan ? Ah non tu ne sais pas, je me couchai sur le sable chaud et tu approchas ta tête de moi et me fis une grosse lè-lèche à partir de ce moment-là j’ai complètement été dégoutée, je ne me coucherais plus jamais en dessous de toi ! Je me relevai d’un bond.De la bave plein le visage je m'essuyas la tête, du moins j'essayas.
Je me remis à ta droite et remontas sur ton dos je te fis reprendre le galop et au bout de vingt minutes je vis la fin de la plage, et ben il était temps, je te fis sortir de la plage et te refis passer au pas pour que tu te reposes un peu, mais je ne lâchais pas les reines, on était encore en dehors du domaine nous repassions dans les bois, puis nous longeons la route avent de se retrouver devant la porte du domaine.
[Je sais qu'on ne compte pas, mais comme j'ai largement battu mon reccord je vais le dire 863 mots !!] | |
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