Marchant accompagné de son bai, Kar’ se dirigeais vers de rond de longe. Le rythme des sabots d’Abreson accompagné ses pas. L’hongre étais un peu tendu, les oreilles en avant, scrutant les moindres bruits qu’il pouvait entendre. Arrivé devant le rond de longe, la jeune fille ouvrit la porte et y lâcha le cheval. Celui-ci marcha, naseaux à ras du sol, et fit le tour du rond de longe avant de revenir vers Kary qui le refermais. Ne s’attendant pas à voir un cheval juste derrière elle, Kar’ sursauta, ce n’y ne perturbas pas du tout Abreson. Au contraire, il semblait se moquer d’elle, le petit malin.
«
1, 2 et … 3 ! »
Elle courut dans tout le rond de longe à une vitesse assez rapide. Mais quand elle regarda derrière elle, elle remarqua que l’hongre n’avait pas bougé mais il la regardait. Morte de honte, elle courut vers lui. Aucune réaction de la pars d’Abreson. Un brin démotivé, elle marcha et sentit enfin une présence derrière elle …
* Ha , on peut commencer
*
Elle se mit à enchainer demi-tour, ligne droite et voltes. Le cheval de plus en plus amusé, lançais sa téte dans tout les sens. Kary accéléra et se mis à courir de toute ses forces. Sauf qu’Abreson, restais au trot. Pourquoi aller t-il galoper alors qu’en allongeant le trot, elle la rattraper largement ? Soudain, la jeune file stoppa net. L’hongre, surpris, s’arrêta aussitôt et ronfla de ses naseaux. De la fumée s’y échappa. Kar’, a force de courir, avait oublié la fraicheur du petit matin.
«
Ce n’es pas fini ! 1, 2 et … »
A peine a-t-elle eu le temps de prononcer le ‘2’ qu’Abreson partit au galop. La jeune file, amusé, restât immobile, en regardant les yeux du cheval où l’on pouvait lire ‘ Bah … Pourquoi tu ne cours pas … ?! ‘ . Ils se regardèrent, les yeux dans les yeux, et il revint vers elle.
«
… 3 ! »
Et elle se mit à courir en attendant un bruit de galop derrière elle.
Quelque voltes, demi -tour et arrêt plus tard, elle s’approcha de lui et lui fit une énorme caresse. Elle lui enfila le licol et posa la longe au dessus de l’encolure de l’hongre, il la suivait. Arrivé a la porte du rond de longe, elle l’ouvrir et regarda Abreson. Il restait la, arrêté juste devant la porte.
«
Allez, viens, on rejouera plus tard … Allez Abreson »
Il baissa l’encolure et sortit du rond de longe. Tout en marchant, la jeune file sentit une pression … Sur ses poches.
*Ne te gène pas surtout !
… Tiens, tu as bien ‘travailler’ *
Elle se retourna et lui tendu une friandise qu’il accepta, évidemment. De l’allée, ils aperçurent le box d’Abreson.
[ Box ]