Aujourd'hui j'avais décidé de faire connaissance avec les chevaux des années supérieures. J'avais déjà été voir les chevaux de deuxième année mais aucun ne m'avait vraiment taper dans l’œil. Je commença donc la découverte des chevaux de troisième année quand mon regard fut directement attiré vers un cheval gris clair. Je m'approcha et lut sur la porte.
« Bianca Del Sol ! »
C'était donc une jument, je m'approcha d'elle et voulu lui faire une caresse. Dans l’immédiat la jument se recula. On voyait tout de suite la différence avec les chevaux de première année qui était toujours confiant. Cette jument m’intriguait vraiment. Je sortit une carotte de ma poche et lui proposa. Elle s'approcha prudemment de ma main, et pris le morceau de carotte. J'en profita pour lui caresser délicatement l'encolure, la jument avait l'air l’appréciez. Je décida de tenter de rentrer dans son box, je me souvenais que la directrice avait dis que l'on pouvait s'occuper des chevaux qui n'était pas monté de la semaine. Et cette Bianca me donnait vraiment l'envie de m'occuper d'elle. Je décidai donc de la sortir un peu en prairie, mais d'abord un petit pansage s'imposait pour faire de plus ample connaissance. J'étais à présent dans son box, je la caressai gentiment. Elle n'était pas très rassurée mais bon c'était normal. C'est la première fois qu'elle me voyait. Je ressortis calmement du box et alla chercher ses brosses et son licol. Quand je l'ai est eu trouver, je retourna près du box de la jument et posa le sac de brosse près de la porte. Ensuite je rentrai dans son box. Je pris le licol et le dirigea délicatement sur sa tête. La jument avait assez peur cela se voyait, donc je fis des gestes doux possibles. Elle finit par redevenir calme et je lui mis le licol sans aucun problème. J'y attachai la corde et je sortis avec la jument. Je l’attachai à l'attache prévue pour. Et je sortis l'étrille. Je me dirigea doucement vers la jument et passa délicatement les brosses sur son corps. Elle surveillait ce que je faisait mais sans plus. Elle n’avait plus l’air d’avoir peur de moi, juste de se méfier. En ce moment j’avais extrêmement hâte d’être en troisième pour pouvoir la monter. Tout en pensant à mon année je continuais de brosser la jument.
« Alors ma belle, tu as l’air d’appréciez sa. »
Je grattais son garrot à l’aide de l’étrille, elle aimait sa. On le voyait à sa tête. Je continua de brosser sa robe grise qui était assez crade je l’avoue. Je la brossai ainsi pendant une dizaine de minute. Quand la robe se trouvait sans trace collante seulement brune à cause de la poussière, je décidai de changer de brosse. Je remis l’étrille et pris la brosse dure. Je brossa la robe de Bianca à rebrousse poils. Un énorme nuage de poussière s’éleva autour de nous. Mais je continuai de brosser. Après un quart d’heure, ses poils étaient redevenu d’un blanc éclatant. Je caressai l’encolure de la belle. Elle avait l’air contente qu’on s’occupe d’elle. Et moi cette jument m’intriguait. Je remis la brosse dure et pris la douce. Je la passai délicatement sur sa robe et cela la fit briller. Je passai encore dix minutes à la brosser. Ensuite j’allai la ranger et je pris le cure pied. Je m’approchai de son antérieur droit, et lui demanda de le soulever. Ce qu’elle fit sans aucun souci. Je lui cura le pied et en profita pour regarder si son fer tenait bien. Je curai ainsi tous ses sabots, et du faite tous ses fers tenaient bien. Alors je pris la brosse à crin et enleva tout ses nœuds contenus dans ses crins. J’y passai dix minutes. Ensuite j’alla ranger cette dernière brosse et m’approcha à nouveau de la jument. Je détachai la corde de l’attache.
« Allez ma belle, tu vas pouvoir te défouler un peu les jambes ! »
Je partit avec la jument à ma gauche en direction de la prairie.
A LA PRAIRIE.
J’arrivai devant la prairie avec Bianca. J’ouvris la barrière, il n’y avait pas d’autre cheval dans ce pré. Mais il y avait un étalon que je ne connaissait pas dans la prairie juste à coter de celle où j’allais lâcher Bianca. Après toutes ses observations, je rentra dans la prairie avec la jument et referma la barrière derrière nous. Quand cela fut fait, je détachai le licol de la belle. Dès qu’elle fut lâchée elle partit en coup de cul. Elle avait des allures magnifiques. Je la regardais admirativement. Elle galopais avec de longue foulée. Lorsqu’elle aperçu enfin l’étalon dans le pré d’à coter. Elle se mit à trotter vers la barrière. Elle longea la barrière en hennissant pour alerter le mâle. Quand l’étalon la vit il se dirigea vers elle. Ils étaient chacun d’un coter de la barrière, ils se sentaient le nez. Ensuite ils ont enchaîné avec une séance de pansage mutuel. Je trouvais sa très mignon. Ils devaient donc se connaître pour déjà se faire des papouilles ainsi. Je les regardai gentiment. Ils étaient adorables ! Quand soudain quelqu’un arriva pour rentrer l’étalon. Bianca le regarda partir désespérée. Elle hennissa comme pour lui demander de rester. Mais forcément l’étalon n’avait pas le choix donc il disparu de notre vue. Bianca se mis à trotter le long de la barrière et à hennir. Je décidai de la laisser tranquille pendant deux heures. J’allai passer mon temps dans le salon avec les autres. Deux heures plus tard je revins. Bianca était en train de brouter paisiblement. Je pris le licol que j’avais laissé à la barrière. Et je l’appelai.
« Bianca ! »
Elle redressa la tête, mais retourna vite dans son herbe. Je compris que je devrais aller la chercher. Je l’aurai bien laissé là mais il allait faire nuit donc je préférais la rentrer. Quand je fus près d’elle, elle redressa la tête et mis bien gentiment son nez dans le licol. J’attacha la boucle et mis la corde. Quand je me mis en marche, elle me suiva bien gentiment.
A L’ECURIE.
Arrivée devant son box, je l’attacha et repassa rapidement un coup de brosse sur sa robe. Quand j’eu fini, je m’écarta et regarda le travail. Cette jument était vraiment superbe. Je la détacha et la rentra doucement au box. Je lui caressa généreusement l’encolure. Quand je m’en alla, je lui parla juste avant de fermer la porte.
« Je reviendrais vite ma belle, tu verra ! »
[ 53 lignes, j'espère que c'était toujours d'actualité le faite qu'on pouvais s'occuper des chevaux non pris ? ]